Yvonne Trubert

Chronique d'une Invitation à la Vie

Yvonne Trubert
Le juste Équilibre

Le Juste Équilibre

Tome 2 des Chroniques d’une Invitation à la Vie

  • Date de parution : Décembre 2007
  • Format : 14 cm x 22 cm
  • Pages : 141
  • Éditeur : L’Harmattan


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Sommaire

Extraits

L’ère de l’amour

« Avec la démarche de transformation que propose IVI, l’être humain apprend à redevenir fort, à découvrir cette force initiale que Dieu lui a donnée, qui n’est pas la force musculaire, ni la force intellectuelle, mais la force de l’amour. Cette force peut tout combattre, tout transformer, tout faire bouger dans ce monde. Cette ouverture de l’esprit dont parle la Vierge quand elle demande de faire pénitence est l’entrée dans la transformation et une façon différente de vivre. »

© Yvonne Trubert, novembre 1987

Doux oiseaux de la jeunesse

« Le savez-vous ? Un enfant n’appartient pas à ses parents : son âme choisit une mission et vient sur terre pour la remplir. Génétiquement, il reçoit de chaque parent un héritage qui fait de lui un être unique. Il a sa vie propre, ses pensées, sa façon de regarder, de comprendre, de toucher. Même si un de ses parents voulait se fondre en lui totalement, celui-ci ne pourrait sentir qu’une parcelle de ce qu’il ressent. »

© Yvonne Trubert, décembre 1987

Apprendre à se régénérer

« On ne comprend pas les gens âgés. Il faut absolument cesser de les étiqueter, de les juger, sans quoi on sera toujours mal à l’aise avec eux. Autrefois et encore aujourd’hui dans certaines tribus d’Amérique, Afrique ou Australie, les anciens, au courant de tout et connaissant donc parfaitement le système politique, économique et culturel, dirigent la vie sociale. Mais chez nous, sous prétexte qu’ils ont dépassé un certain âge, au lieu de les considérer comme justes et sages, nous n’utilisons plus toutes leurs facultés et nous les marginalisons. Les anciens passent pour des débiles et le deviennent, tels que nous les créons. À nous de transformer notre façon de penser et de les écouter pour les rétablir au rang qu’ils méritent. La vie est limitée parce que nous la limitons. Au lieu de mettre les plus de soixante-dix ans au ban de nos fêtes, de nos jeux, de nos loisirs, il faudrait leur donner une juste place au milieu de nous. »

© Yvonne Trubert, février 1988